La Probabilité au Mahjong

Je ne joue pas au mah-jong pour l’adrénaline — je joue pour les mathématiques. Chaque tuile est un échantillon d’un processus de Markov fini. La table du « dragon doré » ? Une couche visuelle : un modèle Excel traquant les probabilités de victoire sur plus de 120 mains, avec une aléatoire certifiée RNG (92–95 % HU PA). Ce qui semble une immersion culturelle est en réalité une conception algorithmique — façonnée par des siècles de décision ritualisée.

Dans mon analyse, « qing yise » (couleur pure) n’est pas une chance — c’est un état d’équilibre avec p=0,87. « Treize orphelins » ? Un pari à haute variance à rendement attendu négatif ; seuls les joueurs rationnels le maintiennent au-delà de 30 parties.

Le « bonus cap » n’est pas du marketing — c’est une poussée comportementale. Les études montrent que les joueurs persistent après trois pertes consécutives — non par frustration, mais parce que leur système de récompense neuronale exige la reconnaissance de motifs plus que le gain.

J’ai vu des VIP poursuivre les « défis de la pièce dorée » tout en ignorant les stratégies basiques. Leur tolérance au risque n’est pas élevée — elle est déformée par un poids probabiliste mal aligné. La maison ne s’intéresse pas à votre victoire ; elle s’intéresse à la conformité de votre modèle aux données.

La prochaine fois que vous tirez une tuile — arrêtez-vous. Vérifiez la fonction de distribution cumulative dans votre journal d’histoire. Demandez-vous : Cette main est-elle vraiment aléatoire — ou optimise-t-elle simplement mon comportement ?

Le vrai jeu n’est pas sur la table. Il est dans le code.