De l'analyste au poète de mahjong

Je ne suis pas un joueur. Je suis un psychologue ENTP qui analyse les comportements sur les tableaux fintech—et passe mes nuits à écouter le jazz dans les pubs londoniens. Le mahjong n’était pas un jeu de hasard, mais un algorithme vivant : chaque défausse, une décision ; chaque tir, une calibration émotionnelle. Mon profil MBTI—ouverture élevée, anxiété faible—m’a révélé des motifs que d’autres prenaient pour du hasard. Le « Dragon Doré » ? Pas la fortune. La fluidité.

J’ai analysé les taux de victoire comme des tests A/B : 90 % de succès ne venait pas des tuiles chanceuses, mais du savoir-faire à attendre, miser avec calme et s’éloigner de l’avidité. Le « Fête de l’Empereur Étoilé » ? Pas une célébration. Un rythme—une pulsation syncopée entre discipline et libération.

Mon « budget » ? Pas de feuilles Excel. Une seule règle : jouer 20 minutes après le travail. Pas de chasse aux jackpots. Juste une tasse de thé while le saxophone chuchote derrière vous.

Le vrai jackpot ? Pas les jetons gagnés—but la confiance tranquille qui naît quand on arrête de vouloir contrôler les issues… et laisse simplement le jeu être.